Flotte Outdoor #1 : Escapade à Madère - Flotte

Flotte Outdoor #1 : Escapade à Madère

Flotte Outdoor, c’est le coup de projecteur sur nos ambassadeurs. Aventuriers, artistes, sportifs, randonneurs… Ils sont tous guidés par la passion et partagent nos valeurs, notre vision de la vie, notre positivité. Pour ça, on les admire. Du coup, on a eu envie de vous les présenter et de mettre en avant leurs projets.
Pour commencer cette série, rencontrez Pierre et Maxime. Photographes et vidéastes dans la vie, ils ont réalisé une incroyable vidéo sur l’île portugaise de Madère (on vous laisse y jeter un œil). Des images à en couper le souffle à leur expérience avec les imperméables Flotte, ils nous racontent.

Qui sont nos ambassadeurs ?


Pierre est un passionné de la vidéo et de ce qu’elle est capable de transmettre. C’est lors d’un voyage en Australie, il y a 5 ans, qu’il s’est découvert un intérêt pour la photographie et pour la vidéo. S’il n’était pas prédestiné à cette voie-là (au beau milieu de ses études d’économie-gestion), il a tout de même continué à se former et à creuser cet univers de l’audiovisuel qui l’attirait tant. C’est à cette période qu’il rencontre Maxime. Après ses études, Pierre se lance à son compte et à temps plein dans la création audiovisuelle. Depuis, il travaille avec des entreprises, des marques, et pour lui-même. 

Maxime est aussi passionné et fervent d’émotions que Pierre. S’ils se sont rencontrés au cours de leur master et n’ont cessé d’évoluer jamais très loin l’un de l’autre, Maxime exerce aujourd’hui deux facettes du métier. Il crée des vidéos et des contenus pour des marques et entreprises, et il forme les adeptes et débutants de la vidéo grâce à sa chaîne YouTube. Il y partage tutos, tests de produits, conseils… et donne un peu de son temps, lorsqu’il en a l’occasion, pour former et accompagner les plus chanceux.


Chacun vit aujourd’hui de sa passion, mène des projets pour des marques et entreprises, gère sa boîte… Mais il leur arrive aussi parfois de se retrouver sur des projets ensemble, de travailler pour les mêmes marques, et d'entrecroiser leurs visions. 

 

 

“Il y avait un instant un peu magique [...] capturer les images comme ça, les vivre aussi, ça fait quelque chose.”

 

On leur a demandé de nous parler de leur voyage à Madère, des paysages et de leurs impers

 

Qu’est-ce que vous aimez dans votre métier, dans la vidéo ?

  • (Pierre) Ce qui m’a plu quand je me suis lancé, en tous cas la vision que j’en avais, c’est que la vidéo est un vecteur incroyable pour raconter des histoires et véhiculer des émotions. C’est un peu toujours le leitmotiv que j’ai eu dans mes créations vidéo, en tous cas, personnelles. Après, c’est vrai que quand on travaille pour des marques ou des entreprises, on s’adapte aussi à leurs enjeux et leurs besoins. Mais dès que j’ai eu à créer des vidéos un peu plus personnelles, j’ai toujours eu cette envie : qu’elles aient un sens, qu’elles inspirent les gens et qu’elles véhiculent un message qui soit positif et inspirant.
  • (Maxime) On a un peu grandi ensemble tous les deux avec la vidéo, donc on a un peu les mêmes motivations. Donc moi c’est comme Pierre, c’est pas mal tourné autour de l’émotion, le terme sur lequel je le rejoins le plus c’est de « raconter une histoire ». Le but, c’est vraiment de montrer quelque chose à des personnes et qu’elles ne se rendent pas trop compte qu'elles regardent une vidéo, qu’elles la terminent et se disent que les images sont magnifiques… C’est vraiment cet aspect d’essayer de raconter quelque chose dans un court instant et d’essayer de véhiculer des émotions, des envies de faire la même chose… C’est ça qui est sympa comme défi.

 

Qui a eu l’idée d’aller à Madère ?

  • (Maxime) Le projet à Madère c’était aussi le projet avec une grosse marque de drones qui s’appelle DJI et avec qui j’avais un partenariat pour organiser une vidéo sur un drone. J’avais envie d’aller dans un endroit sympa, accessible, et où en quelques jours on pouvait faire le tour facilement. La priorité c’était de pouvoir faire des images magnifiques de drone, et dans cette vidéo-là je savais qu’on aurait beaucoup de rush à faire aussi au sol, que ça allait être sympa et qu’on allait pouvoir créer du contenu autre que par drone. C’est pour ça que j’en ai parlé à Pierre, il a une patte que j’apprécie. On s’est posé tous les deux et on s’est mis à réfléchir à vers qui on pourrait aller, quel style de vidéo on pourrait faire et pour quelle marque.

 

Vous connaissiez déjà Flotte ou c’est en cherchant que vous avez pensé à nous ?

  • (Pierre) Ça du coup c’est plus moi, je vous connaissais depuis l’émission « Qui veut être mon associé ? ». J’avais appris à connaître la marque à ce moment-là, j’avais apprécié les valeurs et le pitch des deux fondateurs qui était assez chouette, puis j’ai continué à suivre la marque sur les réseaux sociaux. Dès que Maxime m’a proposé ce petit séjour à Madère, qui est une destination qui pouvait bien se prêter au besoin de porter un imper parce que c’est une île volcanique où les climats sont assez changeants, je me suis dit qu’on allait essayer de contacter Flotte pour être accompagné. Et c’est drôle parce qu’on n’avait pas eu de retour, et la veille c’est Lyly qui m’a recontacté en disant « j’espère que c’est pas trop tard, que vous êtes pas déjà partis ! ». Finalement, on est passé la veille au showroom et ça a pu se faire, on regrette pas du tout.

 

Est-ce que vous pouvez nous raconter un peu sur place, les paysages, vos premières impressions ?

  • (Pierre) Moi ce qui m’a étonné en premier lieu c’est que tu pouvais faire le tour de l’île assez rapidement, de l’Ouest à l’Est il me semble qu’il y a maximum 1h30 de route. Et ça c’est hyper agréable parce qu’on avait ce défi de rester 3 jours sur place, ce qui en soit est très peu, mais malgré tout on a eu le temps de faire les spots principaux de l’île. Et puis après pour ce qui est des paysages… Max si tu veux prendre le relai…
  • (Maxime) -rires- Merci ! Moi en fait, vu que j’avais préparé ce road trip à Madère, j’avais vraiment fait énormément de recherches, j’avais un point sur chaque endroit où je voulais aller avec des photos etc. Donc, je « savais » à quoi m’attendre en faisant ce voyage. C’était la première fois pour nous deux mais il faut savoir que Madère est une destination qui est un peu connue des gens dans notre métier parce que, comme dit Pierre, tout est proche donc en quelques jours tu peux faire beaucoup de choses et c’est des paysages magnifiques, qu’on a pas trop l’habitude de voir, c’est vraiment sympa. Il y a pas mal de montagnes et surtout beaucoup de vent, ce qui fait que le temps change très rapidement. Mais on a eu à peu près de la chance là-dessus, ça aurait pu être mieux mais ça aurait pu être pire et finalement ça collait plutôt bien avec le mood qu’on voulait. Ce côté très sauvage, un peu jungle, on a eu un peu de pluie donc on a pu jouer avec ça dans la vidéo.

 

“T’as l’impression d’être dans une espèce de paradis bizarre où tu vois rien autour, et là t’as le soleil qui tombe devant toi"

 

 

  

 

 

Est-ce que vous avez des anecdotes à nous raconter sur ce que vous avez pu voir ou faire là-bas ?

  • (Maxime) -réfléchit- Je pense que, tous les deux, là où on a pris une grosse claque, c’est quand on était au-dessus des nuages et qu’on avait le coucher du soleil. On monte dans la montagne, il y a beaucoup de nuages, on se dit « bon, ça va pas être ouf », et en fait on arrive et en 5 secondes on se retrouve au-dessus des nuages. Tu as l’impression d’être dans une espèce de paradis bizarre où tu ne vois rien autour, et là tu as le soleil qui tombe devant toi. Il y avait un instant un peu magique, capturer les images comme ça, les vivre aussi, ça fait quelque chose.
  • (Pierre) Il y a une petite anecdote qui me vient et qui est assez drôle. C’est quand on est allé au Pico Ruivo en fin de journée, c’est le point culminant de Madère et il y a une randonnée de 1h, 1h15 pour y aller. Donc c’est assez physique quand même. On y est allé aux dernières lueurs du jour. On était très contents parce qu’il n’y avait vraiment plus personne, et au moment où on est arrivé et où on a commencé à installer notre matériel, deux français nous ont reconnus -rires-, plus Maxime dans un premier temps grâce à sa chaîne. Ça nous a fait bizarre parce qu’on ne s’attendait pas à voir du monde en début de soirée, et encore moins des français, et encore moins des gens qui nous connaissaient tous les deux. Mais c’était très cool, c’était des personnes aussi passionnées un peu par la photo et la vidéo donc on a pu discuter, puis on a mangé ensemble le lendemain soir. C’était un chouette moment. 

 

Pourquoi avoir choisi l’Anatole Ginger et l’Amelot Rouge ?

  • (Pierre) On n’avait pas vraiment d’idée précise avant de venir. C’est une fois sur place qu’on a pu voir les pièces parce qu’on ne connaissait pas non plus toute la collection. Du coup c’est venu un peu naturellement, moi j’avais repéré un peu avant la pièce plus courte, un peu plus urbaine -Anatole-. Je trouvais une cohérence avec le orange du fait que, sur Instagram, j’aime bien mettre en avant les couchers de soleil, les couleurs un peu chaudes, donc c’était cohérent.
  • (Maxime) Moi c’était un peu plus l’aspect pratique. Vu que je savais qu’on pouvait avoir de la pluie je voulais quelque chose qui me protège, avoir une capuche dessus, donc directement les impers -Amelot- m’ont plus intéressé. Je voulais avoir quelque chose qui puisse me protéger de la pluie mais qui passe aussi bien en vidéo vu qu’on se filmait. Il fallait qu’on soit habillé correctement et avec un peu de style. Je suis parti sur le rouge parce que c’est lié à ma chaîne YouTube. J'ai souvent une casquette rouge, c’est une couleur que je m’approprie un peu et que j’essaie de porter le plus, donc je trouvais ça sympa. Et puis j’aime bien ce côté un peu coloré, un peu pétant, je trouve que ça marque. Mine de rien quand on fait des rushs de drone, je trouve joli d’avoir une couleur qui sort du paysage.

 

Au final, qu’avez-vous pensé des impers ? Bons compagnons de route ?

  • (Pierre) Carrément, c’est des habits hyper légers, hyper compacts. On les a pas recroquevillés pour les mettre en sac et en petite pochette mais malgré tout c’était pratique à transporter. Et dans des environnements un peu humides ça faisait carrément le job, on s’est pas sentis en humidité sous l’imper une fois qu’on l’avait, donc rien à dire par rapport à ça.
  • (Maxime) C’était très bien, hyper pratique, et ça correspondait exactement à où on allait. Il fallait quelque chose qui soit tout terrain, qu’on puisse enfiler et supporter quand on faisait de la randonnée en montée. Ça colle pas trop à la peau et ça tient pas trop chaud non plus, et si dans les 10 minutes après il commence à pleuvoir, tu sais que t’es protégé, tout en ayant du style. C’est ça le problème, c’est qu’on peut trouver beaucoup de fringues « techniques » pour notre métier, mais on n’aura pas forcément le style qui va avec. Là, la coupe était plutôt bien, les coutures etc. étaient top aussi, il y avait des petites touches de style qui nous plaisaient, c’est aussi pour ça qu’on est partis avec Flotte et qu’on s’est dit que ça pouvait être sympa. Et puis même quand il y avait un peu de vent, ça coupait du vent aussi, c’était assez agréable. Ça protège bien. Comme dit Pierre “ça fait très bien son job” -rires-.

 

Le TOP 5 des garçons à Madère

Pico Ruivo 🌅

Indispensable à faire pour être au-dessus des nuages, c’est magique, surtout pour les couchers et levers de soleil

Fanal Pond  🌲

Un lieu féérique embrumé, l’idéal : y aller quand il fait nuageux

Sao Lourenco 🏝️

Une randonnée qui permet de voir les îles s’étalant sur l’océan

Caldeirao Verde 💧

Dans les terres, une petite randonnée en pleine forêt, dans la jungle, qui vous emmène voir une cascade majestueuse

Anjos Waterfall 🚗

Ou la cascade qui nettoie ta voiture quand tu passes

 

 

Retrouvez Pierre sur instagram @pierrefroger_ et sur son site frogerpierre.com/ 📷 

Et Maxime sur instagram @pileetface_ et YouTube Pile & Face 🎥

 


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